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Développer des filières issues d’une économie de terroir. Construire une identité de la ville autour de produits locaux provenant d’exploitations agricoles respectueuses de l’environnement. A partir de la culture locale (raisonnée et bio) du blé, du chanvre et du lin, par exemple, structurer deux types d’activités : l’écoconstruction et l’alimentation saine.
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Accompagner les structures économiques coopératives ou à vocation sociale et solidaire. Encourager les activités de recyclage, de réparation (« Répar’café ») et de valorisation des objets de seconde main (« ressourcerie », friperie).
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Proposer une nouvelle offre de marchés populaires de tous types en centre-ville et dans les quartiers.
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Accueillir les entreprises innovantes pour le respect de l’environnement et accompagner la conversion des activités actuelles.
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Proposer une offre de formation publique pour l’artisanat local. Créer un lieu pour les artisans non installés qui souhaitent se faire connaître du public. Miser sur une attractivité économique de niveau international fondée sur l’artisanat d’art en relation avec l’histoire de la ville et de ses monuments.
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Accompagner, en lien avec l’office de tourisme, une transformation progressive de l’offre touristique tournée vers davantage d’expériences culturelle et naturelle. Améliorer les animations populaires liées à Chartres en Lumières (la Cathédrale ne peut se réduire à un simple écran de projection durant 6 mois) et Chartres Estivales, impulser la création d’un festival écoresponsable.
Aujourd’hui, la municipalité promeut une activité industrielle essentiellement chimique et pourvoyeuse d’emplois précaires.