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Préserver les sols vivants et développer les espaces naturels et végétaux en révisant le Plan local d’urbanisme (PLU). Planter en pleine terre des milliers d’arbres et arbustes pour climatiser la ville. Zéro pesticide !
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Viser l’autonomie énergétique à l’échelle de la ville: proposer un mix énergétique (solaire, géothermie, méthanisation, etc.) et réduire la consommation d’énergie (éclairage public, sobriété des bâtiments publics, isolation systématique des logements, fin des panneaux lumineux).
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Viser l’autonomie alimentaire à l’échelle de l’agglomération : organiser la mise en place d’une ceinture maraîchère bio et des filières de transformation et de distribution des produits frais à coût modéré.
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Favoriser la création de jardins partagés et de cultures dans les jardins privatifs. Convertir des espaces publics en espaces productifs et comestibles (bords de l’Eure, La Madeleine, etc.).
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Lutter contre la pollution visuelle de l’affichage publicitaire dansl’espace public.
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Maîtriser le développement des activités tertiaires, industrielles et commerciales par la reconversion des friches urbaines. Abandon du projet d’autoroute A154.
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Protéger les quartiers d’habitat individuel de la spéculation immobilière. Entretenir le patrimoine bâti de caractère (églises Saint-Pierre et Saint-Aignan, Palais épiscopal, etc.).
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Créer de nouveaux parcs et jardins : devant la Cathédrale, sur le site de l’Hôtel Dieu, Beaulieu. D’autres lieux seront mis à l’étude en concertation avec les habitants.
Aujourd’hui, la ville sacrifie l’écologie et la qualité de vie au profit d’une logique économique à court terme. Elle vend la moindre parcelle de terrain aux promoteurs immobiliers et paralyse ainsi le développement harmonieux et équitable de la cité.
Olivier MAUPU
